Istanbul – une megacity avec flair

Written by Sebastian on juillet 20th, 2011. Posted in Allgemein

Avec une gueule de bois nous nous réveillons et nous nous préparons pour partir à Istanbul – pour moi un moment bien attendu depuis long temps. La seule chose qui nous choque sur la route sont le prix pour l’essence à 1,70 Euro le litre et le vent qui nous souffle « doucement » dans les visages et augmente la consommation beaucoup (nous nous retrouvons encore une fois avec très peu d’essence dans les réservoirs…). Arrivés à la frontière, entrer en Turquie ne pose aucun problème et après 15 Minutes nous sommes arriver dans ce pays européen – asiatique.

 

L’arrivée à Istanbul

A la première station d’essence nous apprendrons deux choses. L’essence est même plus chère qu’on Grèce et la hospitalité est en faite impressionnante. Après environ 60 secondes on nous invite un « çay », un té et on parle un peu avec des Turques qui nous expliquent le chemin pour bien arriver ou nous voulons aller – on pense d’avoir compris, mais on va apprendre qu’on s’est trompés… vraiment trompés.

On y va et un peu avant Istanbul nous devons passer par une station de péage. La barre n’est pas fermé et je ne comprends pas comment ca marche. Martin pareil et comme le conducteur derrière moi commence d’être impatient on y va en pensent que c’est gratuite pour des touristes motards idiot comme nous. 50 km plus tard Martin crie qu’il a vu la bonne sortie donc on sort en risquant notre vie (les gens à Istanbul conduisent comme des malades). Quel erreur. Pas seulement on s’est trompe avec la sortie – on est loin d’être arrivé – mais aussi maintenant la barre de la station de péage est bien fermée… merde alors c’est ce qu’on se dit. Moi je vois un passage ouverte et j’en profite en declingeant un alarme. Martin entre temps essaie de passer à côté d’une barre et il est chanceux car un locale lui l’ouvre avec son « bip ». En étant sur que tout la police d’Istanbul aille nous chercher on continue. Vite fait on se rend compte qu’on a pris la mauvaise sortie et en commence à demander aux gens. 3 heures plus tard on arrive en baigné de sueur et fatigués à l’hôtel.

Ce qu’on a apris jusqu’à maintenant : 1.) les gens ici aident quand ils peuvent et prennent leur temps pour le faire ! 2.) Tout ça ne nous a pas aidé car nous avons mal compris la carte et donc mal indiqué ou on veut aller… non, nous ne sommes pas fier de cela ! 3.) Les conducteurs turques te font croire qu’en Albanie la route et un course pour des débutants ! On s’est fait doubler même par des camions des années 50… je rêve ou quoi ???

 

La ville

Un collègue de Martin, Aytac, nous accompagne pendant notre première visite de la ville. Il nous montre la Hagia Sophia (ancienne église « convertie » en mosquée en 1453) et la «Mosquée Bleue ». Un peu comme à Paris, en Istanbul aussi les arrondissements sont tous un peu différents et ont leur propre « vie ». Pas besoin donc d’aller à un centre pour sortir par exemple. En fait les transports ne sont pas tops ce qu’est est normale pour une ville d’environ 20 million d’habitants. Pour aller de la partie européen à l’asiatique en bus ou voiture on peu mettre facilement 1,5 heures. Mais il y a aussi des bateaux sur lesquelles on peut traverser le Bosporus.

Après avoir visité le palace des sultans, le soir on décide prendre un verre prêt de la tour Galata, côté européen. C’est zone est connue pour une vie nocturne assez vivante et ne nous déçoit pas. La rue piétonne est remplie des gens. On mange, on prend un narguilé (oui, moi aussi – believe it or not:p) et on se tape quelques bières avant de rentrer contents de notre premier jour à Istanbul.

Le lendemain nous avons prévus prendre un bateaux pour aller sur le Bosporus direction nord. L’excursion est vraiment sympa et on profite du ciel bleu et d’une vue magnifique sur les deux côtés d’Istanbul – l’Europe et l’Asie. Après environ 3 heures le collègue de Martin viens nous chercher du Terminus et on rentre en voiture.

 

Le soir on décide d’aller prendre des photos (l’appareil a été réparer entre temps) de la coucher de soleilsur la promenade du Bosporus (côté asiatique) avec la vue sur la Hagia Sophia et le Palais des Sultans ainsi que sur la vielle ville européen.

Après 5 jours très sympa à Istanbul on part en Cappadoce le lendemain… on ne sait pas encore quelle région fantastique nous attends… mais comme d’hab cela est une autre histoire;)

 

 

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